À la recherche de bêta-testeurs

J’ai un nouveau logiciel Mac que j’aimerais tester en profondeur avant sa sortie publique. C’est un utilitaire qui s’attaque au problème du choix de la bonne application à lancer quand on double-clique sur un fichier, ce que Snow Leopard a rendu parfois pire, parfois meilleur qu’avant en abandonnant les code de créateur. Je suis donc présentement à la recherche de personnes pour trouver les bogues qui pourraient rester.

Essentiellement, mon logiciel peut restaurer l’ancien comportement du Mac OS utilisant les codes de créateur, mais uniquement pour les types de fichiers de votre choix. Il va cependant beaucoup plus loin en permettant de choisir l’application à utiliser en fonction d’autre caractéristiques plus variées des fichier à ouvrir.

Notez que c’est un logiciel de qualité bêta, pas encore tout à fait prêt, et que vous pourriez trouver quelques anomalies, même si j’ai pris quelque précautions. Le plus probablement ceci pourrait être des mauvaises associations entre les fichiers et les applications. Et aussi, bien que ça ne devrait pas arriver, je ne prendrai pas la responsabilité s’il corrompt un de vos fichiers, donc assurez vous d’avoir des sauvegardes récentes (et là Time Machine peut vous aider).

Donc si vous voulez toujours participer aux tests sur la version bêta, faites-le moi savoir par courriel. Vous aurez besoin d’un ordinateur fonctionnant sous Mac OS X 10.6 (Snow Leopard) puisque mon logiciel ne fonctionnera pas sur des versions plus anciennes du système d’exploitation. Si vous êtes choisis, je vous inscrirai sur une liste de discussion par courriel (en anglais) avec les autres testeurs.


Commentaires

Louis

Je ne comprend pas cette polémique autour des codes de créateurs. Le comportement des fichiers dans Snow Leopard est très simple : tous les fichiers d’une extension donnée s’ouvrent avec la même application (ex: .jpg -> Aperçu). Et pour les cas particuliers où l’on veut ouvrir un fichier avec une autre application, il suffit de faire un clic-droit->”Ouvrir avec” (ex: .jpg -> Photoshop).

Quelle limite trouvez-vous à cette approche ? Je ne comprend vraiment pas. Pourriez-vous me donner quelques exemples où votre application entre en jeu ?

Michel Fortin

Si par exemple on travaille sur des fichiers HTML pour un projet, on voudra que les fichiers en rapport au projet s’ouvrent dans un éditeur HTML, mais seulement ces fichiers. Ouvrir Dreamweaver (ou un autre) pour tout les fichiers HTML serait plutôt déplaisant.

Si notre éditeur appose son code de créateur sur les fichiers qu’il sauvegarde, avant Snow Leopard ce fichier s’ouvrait automatiquement dans l’éditeur, maintenant il s’ouvrira avec le navigateur web. Depuis Snow Leopard il faut faire un clic droit et naviguer dans le menu pour ouvrir la bonne application.

Avec mon logiciel on peut restaurer cette façon de faire. Mais on peut aussi faire encore mieux en créant une règle pour ouvrir tous les fichiers HTML se trouvant dans un certain dossier avec l’application de notre choix.

Ceci n’est qu’un exemple parmi d’autre. Il y a aussi les extensions à plusieurs signification, comme .m (utilisé par Matlab, Mathematica, Objective-C), qui sont un problème auquel j’apporte une solution.


  • © 2003–2024 Michel Fortin.