Brevets logiciels (bis)

Je n'aurais jamais pensé trouver un exemple aussi flagrant d'idiotie au sujet des brevets logiciels. Ce n'est pas que je porte Microsoft dans mon coeur, mais j'aimerais bien mentionner que la compagnie E-Data les poursuit présentement parce qu'elle détient un brevet supposément valide en Europe. Le brevet couvre les éléments suivants (traduction libre):

la transmission d'informations à un point de vente distant où l'information est transférée sur un objet matériel

Cette description, nous dit-on, correspondrait au téléchargement d'une musique du magasin en-ligne de Microsoft et la graver sur un CD. Mais que'est-ce que ça ne couvrirait pas? Je vous laisse réfléchir sur la chose.


  • © 2003–2024 Michel Fortin.